À propos de Chine Lanzmann

Je propose le programme de coaching Woman Impact pour accompagner les femmes de 50 ans et + à réfléchir à la suite de leur vie professionnelle

Je dénonce :

  • Le sexisme et l’âgisme,
  • La « retraite » et la fin de carrière de nos parents,
  • Penser qu’on est nulle en vieillissant, qu’on perd nos capacités physique et mentales…
  • Ce qui trop rigide et pas assez dans la joie et la créativité !

Voilà ma vision :

  • Que de plus en plus de femmes autour de la cinquantaine, soixantaine, celles qui sont dans ce grand passage :
    • puissent se retrouver,
    • se réinventer,
    • dans la joie, le plaisir, la créativité !

Je veux contribuer à un monde où le travail peut-être synonyme de joie, de plaisir, de créativité… même après 50 ans. Il est toujours possible d’inventer sa façon de travailler en suivant les périodes de la vie. Notre activité professionnelle peut rester passionnante, même l’être encore plus, en travaillant moins, mieux, différemement.  

Ma mission profonde ?

Accompagner les femmes à vivre pleinement cette transition cruciale vers leur 3e trimestre de vie, cette étape de vie que je traverse aussi, entourées de personnes bienveillantes, inspirantes, soutenantes.

C’est important pour moi d’inspirer et d’être inspirée, d’être une femme de mon temps,
d'assumer d’être aussi un rôle modele car on en a trop besoin, il y en a encore trop peu de femmes de 60 et 70 ans… équilibrée, épanouies dans leur vie et aussi dans leur vie professionnelle.

A propos de Chine Lanzmann, la coach du leadership au féminin

Mon histoire de coach...

Je suis devenue coach à 38 ans, après un échec professionnel. J’avais quitté Canal + où tout allait super bien : j’y avais travaillé pendant 9 ans et où j’y produisais et animais le magazine CyberCulture, pour partir à l’aventure en créant la start-up Newsfam (un magazine féminin en ligne). Mon associée et moi avions levé 3 millions d’euros auprès d’un fond de capital risque. Et bim ! La bulle internet a éclaté, et je suis passée de dirigeante de 40 personnes à rien du tout.

J’avais perdu toute confiance en moi. Lors d’un voyage pour chercher ma prochaine idée de business, j’ai découvert le coaching en Californie. Une révélation ! Je me suis formée à fond et me suis installée coach, enceinte de mon 2ème enfant.

J’ai aussi proposé des ateliers de formation de leadership au féminin dans des réseaux féminins comme HEC au Féminin. Les participantes étaient enthousiastes et j’ai commencé à coacher et former des banquières, avocates, consultantes de firmes internationales, tout en aidant aussi les entrepreneuses.

Mais c’est devenu too much ! Le soir, après une journée de coaching, je donnais des conférences, avant et après une journée de formation, je coachais en urgence… et le week-end, je continuais à me former. A cela s’ajoutait l’écriture du Guide de l’auto-coaching pour les femmes qui m’a pris plusieurs années. J’étais au bord du burnout. J’ai mis quelques mois à poser mes limites et à retrouver du temps pour moi, pour jouer, danser, et me former à des outils plus corporels, plus énergétiques. Ouf, ça fait du bien !

Je suis restée vigilante à équilibrer ma vie. Et depuis mes 50 ans, je travaille “à mi-temps”, c’est à dire un temps plein 🙂

Aujourd’hui, dans ma 60tième année, mes parents sont décédés… Mes enfants ont quitté le nid… Je suis à un nouvel endroit dans ma vie… Cette transition, pleine de haut et de bas, de plaines et de virages est passionnante à vivre. Je me fais accompagner, je mets encore plus de créativité dans mon quotidien et j’oriente mon coaching pour aider les femmes qui vivent aussi cette transition à faire en sorte que leurs prochaines années soient les meilleures.

Je souhaitent impacter des personnes qui elles memes iront semer… tout en travaillant dans ma zone de génie, avec une qualité de vie que je me choisis, que j’arrive à construire 🙂

Comment puis-je vous aider à ce que vos prochaines années soient les meilleures ?

Chaque femme – et encore plus après 50 ans – possède une base solide de forces et de talents, trop souvent méconnue et inexploitée.

Et vous ? Savez-vous comment vous avez envoe de vivre et travailler dans vos prochaines années ?

Avez-vous envie de continuer de la même façon ? Avec le même rythme ? 

Trop de femmes s’épuisent, stagnent ou même s’arrêtent au lieu d’évoluer dans leur 3e trimestre de vie, elles méritent un environnement encourageant et stimulant, tout en maximisant leurs talents. 

Je peux être la coach qui vous amène à l’étape d’après.

Je peux être celle qui vous révèle et vous accompagne vers vos meilleures années professionnelles.

Mon talent est de maximiser les vôtres. Je suis là pour vous.

 

Les raisons de me faire confiance

Ma première force est de déceler le potentiel des femmes et voir leurs leviers de développement. Aussi, je suis positive : je vous aide à voir le côté positif de votre situation et de votre futur et passionnée par mon travail de coach. 

 A 60 ans, je suis aussi en pleine transition… depuis mes 50 ans ! Je saurai vous guider pour que votre avenir professionnel soit à la mesure de vos attentes. Mon travail est reconnu et recommandé depuis plus de 20 ans par des centaines de femmes, en entreprise et entrepreneuses. 

Votre vie professionnelle peut être formidable !

Un coaching renommé

J’ai coaché des centaines de femmes de grandes entreprises internationales ainsi que dans les principaux réseaux féminins. Je suis reconnue consultante formatrice experte auprès de l’organisme de certification ICPF-PSI. 

Auteure de plusieurs best-sellers, je suis régulièrement interviewée dans la presse : ElleFigaro Madame, Psychologie MagazineLes Echos… 

J’ai été l’une des premières coachs françaises à donner une conférence TEDx.

Je suis toujours en train de me former, d’apprendre et d’être coachée pour vous transmettre le meilleur.

Woman Impact : il s’agit d’un programme de coaching qui permet aux femmes réussissantes de + de 50 ans de vivre leurs meilleures années professionnelles.
Il vous aide à vous appuyer sur vos forces et vos talents pour clarifier vos objectifs et réfléchir avec plus de stratégie pour que votre 3e trimestre de vie soit le plus épanoui possible.

En savoir plus sur moi...

On me demande souvent : d’où vient ton prénom ? Alors, je vous réponds…

Le prénom Chine est un vieux prénom français qui n’a rien à voir avec le pays mais avec Chione, une demi-déesse grecque.

C’est peut-être grâce à cette ascendance étymologique que j’ai l’impression de devenir une (demi) déesse quand je suis en Grèce 🙂

Mes parents m’ont appelée Chine en hommage à Victor Segalen, l’un de mes arrières grand-père, sinologue.
Et aussi, ils voulaient un prénom qui soit, sic, “original mais pas snob”.

Et depuis quelques années, je me rends compte qu’il y a aussi un biais inconscient qui était peut-être présent à ma naissance : la lettre “shin” est une lettre de nombreux langages sémitiques (dixit Wikipédia), donc, peut-être ? sûrement ? un hommage – secret – au judaïsme.

Car à ma naissance, en 1966, pour mes parents, des intellectuels laïcs, c’était encore dangereux d’être juif, et j’ai été baptisée dans une chapelle, à la pointe ouest du Finistère breton !

Aussi – et il y a toujours plein de raisons conscientes et inconscientes, la soeur de mon père était Evelyne, et Chine, ça rime avec Evelyne… Avez-vous remarqué comme les prénoms d’une famille peuvent se ressembler ?

“Chine” est officiellement mon 3e prénom, car, à l’époque, on ne pouvait nommer qu’à partir du calendrier. C’est quand même mon prénom usuel.

C’est un prénom très agréable à porter – et j’ai traité avec mépris les quelques “Chine-Toc” et “Salut Japon” de la cour de récré de l’école primaire. Mais j’aimais bien quand on m’apellait “Ma Chine” avec tendresse 🙂

Et vous, quelle est l’origine, l’histoire de votre prénom ?

J’ai écrit mon premier roman à 17 ans car j’étais en échec scolaire. Après mon Bac C, en première année d’histoire de l’art, je lâchais un cours par mois.

Ma mère a certains principes d’éducation formidables, dont :

“Soit tu fais des études, soit tu travailles, soit tu as un projet créatif qui marche”.

 

Pourquoi je n’écrirai pas un roman ? 
Sur quoi ?

Sur ma vie, une autobiographie romancée…
La vie d’une fille en terminale dans un lycée catholique de filles : les sorties, les garçons, les pétards et l’amour… Ma vie, les années précédentes.

Le lundi suivant, j’étais prête à commencer.

 

Écrire un roman me paraissait tout à fait normal.

Les enfants de boulangers savent faire du pain, les enfants d’auteurs savent écrire des livres.

Mon père Jacques Lanzmann, autodidacte, a écrit plus de 40 livres. Ma mère, Anne Segalen, licence de lettres, a écrit les biographies, en tant que “ghost writer” de personnes plus ou moins célèbres… Son grand-père, Victor Segalen, a, lui, écrit des poèmes, des romans.

J’ai suivi les conseils coaching en écriture de ma mère que j’ai retrouvés ensuite dans le guide Writing de Stephen King :

– Se mettre à écrire à la même heure, tous les jours, pour que le cerveau s’habitue à l’exercice (pas de week-end ni de vacances)

– Décider si on écrit un nombre de pages ou pendant une certaine durée : 5 pages  ou 3 heures. Pas + de 3 heures par jour pour un premier jet et ne pas s’arrêter avant.

– Ne jamais se relire, toujours avancern sinon, on est tout le temps en train de se corriger)

– Aller le plus vite possible à la fin du livre pour avoir une première version : la Chartreuse de Parme de Stendhal a bien été écrite en 10 jours me disait-elle… Je n’ai jamais si c’était vrai, mais c’était inspirant !

– Laisser reposer 3 semaines – c’est là où les angoisses sont remontées…

– Tout relire d’un coup pour noter ce qui ne va pas et supprimer au moins 30% du texte

– Écrire une 2e version

Ah ah, on est loin de l’inspiration et de la muse…

J’allais écrire le matin au café, à la main. L’après-midi, ma mère lisait mon travail de la matinée pour le taper “au propre” sur sa machine à écrire.

 

Elle effectuait un travail d’éditrice :

– Je ne comprends pas ce que tu veux dire par là. Comment tu expliques ça ?

– Ici, il manque une description, comment était-elle habillée ?

– C’est trop long, tu veux couper quoi ?

Du fond de mon canapé, je lui répondais et elle tapait…

 

Elle était très encourageante aussi :

–  Là ! c’est superbe, tu as un vrai ton !

– On dirait ton père ! Ah les Lanzmann !

– Belle métaphore ! Tu devrais en faire encore plus…

Et je rougissais de bonheur…

 

21 jours plus tard, mon roman était terminé.

Après l’avoir lu, mon père, au lieu de reconnaitre enfin mon talent, m’a répondu, furieux :

Après l’avoir lu, mon père, au lieu de reconnaitre enfin mon talent, m’a répondu, furieux :

–  Il n’y a qu’un seul écrivain dans la famille, c’est moi !
Il s’est fâché ensuite plusieurs années.

Grâce au réseau de ma mère dans l’édition, mon manuscrit a circulé et plusieurs éditeurs voulaient le publier.

“L’Année Câline” est sorti juste après mes 18 ans, en septembre 1984, édité par Jean-Jacques Pauvert et Claude Carrère.

Il a été un best-seller. C’était mon histoire en 1ère et terminale, très romancée.

J’ai touché 200.000 francs d’avance et ai donné 20% à ma mère pour son travail. Il parait que c’était l’avance la plus importante jamais donnée pour un premier roman.

J’ai tout dépensé et me suis offert l’un des premiers Mac : 40 000 francs.

J’ai écrit 2 autres romans dans la foulée mais ils ont moins bien marché.

Ce qui fait qu'elles me recommandent :

Elle m’explique :

“J’évoque souvent que je prends des séances de coaching et de formation avec une super coach de vie professionnelle et que cela me permet de grandir, m’apaiser dans le travail et gérer des situations difficiles avec calme.

Lorsque quelqu’un me demande qui est ma coach je lui dis que c’est toi. Je précise aussi que tu as un site internet + un ouvrage à consulter pour en savoir plus puis que l’on peut te contacter directement.

De toutes les personnes que tu aurais pu leur recommander, pourquoi moi spécialement ?

Parce qu’elles me demandent qui est ma coach et si je leur recommande. Donc je leur réponds Chine Lanzmann et oui je recommande vivement de la consulter, quoique je précise toujours que c’est comme tout prestataire, avec moi ça « matche » parfaitement mais ça peut ne pas marcher pour d’autres, auquel cas, d’autres coachs sont disponibles et le bouche à oreille est efficace pour trouver celui qui convient.

Je leur dis aussi que pour moi ce qui marche avec toi c’est : tes outils, ta longue expérience de coaching et d’entrepreneuriat, ton intelligence, ta posture très constructive et responsabilisante.

Je pense que les personnes qui m’interrogent voient en moi quelqu’un d’affirmée et bien dans ses baskets : quand je leur dis que c’est grâce à toi que je construis ces qualités depuis plusieurs années, elles me demandent plus de détails. D’ailleurs, parfois je leur dis aussi comment se passent les séances en 1-to-1 ou en collectif en précisant le type de sujet qui a été clé pour moi. Et je dis aussi que contrairement à une psy tu ne soignes pas les blessures d’enfance (je te cite !), tu permets de faire un travail pour s’en émanciper, avancer et construire sa vie comme on en a envie.

A la question : ce qui fait que tu m’as choisi, moi, comme coach alors que tu es déjà coach :

  • J’aime ton “bon sens de l’essentiel’, ton côté pratique, qui pour des femmes un peu trop perchées ou déconnectées de la réalité est un grand plus.
  • À plusieurs reprises, tu m’as montré “le film que je me montais toute seule dans ma tête” dont j’étais la scénariste, réalisatrice et actrice principale.
  • J’admire le fait que tu sembles vivre très confortablement de ton activité et qu’à côté de cela, tu accueilles des réfugiés, que tu aides… C’est très inspirant.
  • J’aime ton côté “holistique” très ancré. C’est aussi parce qu’il me semble que tu perçois bien plus que tu ne le laisses paraître qu’il t’est possible d’évoluer dans toutes les sphères.
  • C’est également parce que tu le reconnais chez toi, en pratiquant avec les constellations, que je me suis autorisée à conjuguer ces différents outils et les intégrer dans ma propre pratique.
  • Te voir jongler avec tes différents outils m’a permis d’en faire autant avec les miens et d’assumer.
  • Je suis en train d’écrire sur mon parcours et j’y mets notamment une scène chez toi, où pour la première fois, j’ai parlé de ma mission et où je me suis sentie très accueillie. 😉

Je lui demande ce qui fait qu’elle me recommande souvent auprès des femmes de son entourage : 

  • Quand une personne que je connais n’est pas satisfaite de sa situation professionnelle, est démotivée, je pense immédiatement à toi et à tout ce que tes formations m’ont apporté, ainsi que notre coaching individuel.
  • Je leur dit qu’il peut être intéressant de te rencontrer pour faire un premier point.
 
Pourquoi moi, précisément ? 
  • J’ai rencontré pas mal de coachs dans le cadre de mon réseau, et tu es la seule que j’ai « testée » et qui m’accompagne depuis des années ; c’est donc en toute confiance que je dirige vers toi quand on me demande un nom de coach.
A la question pourquoi moi spécialement… ?
  • Parce que c’était juste une évidence ! Au delà de toutes tes années d’expérience, je leur ai surtout parlé de toi en tant que femme et de ta capacité à regarder les autres femmes comme des personnes extraordinaires, à les booster et à leur donner confiance pour avancer et réussir !
  • Je leur ai dit aussi que tu avais une capacité incroyable à confronter avec bienveillance pour nous faire avancer, progresser et lever nos inhibitions pour nous affirmer notamment.
  • Je leur ai certainement dit aussi que je n’aurais pas réussi aussi vite si je ne t’avais pas connue !

J'ai écrit plusieurs livres

J'ai donné de nombreuses conférences,
dont un TEDx talk

Pour chaque faute d'orthographe, je finance un mois de scolarisation pour une petite fille grâce à l'association Plan International, en plus de mon soutien habituel. ​Si vous remarquez des fautes d'orthographe sur ce site ou ailleurs dans mes communications, prévenez-moi tout de suite. Merci 🙂