La situation d’avant
Muriel était à un moment de sa vie où, en tant qu’avocate associée d’un cabinet d’une dizaine de personnes et mère de deux jeunes enfants, elle n’arrivait plus à tout mener de front : elle était physiquement et moralement épuisée, et avait l’impression de ne pas arriver à consacrer suffisamment de temps, ni à son cabinet, ni à sa famille. Cette impression de manque de temps chronique a été le point de départ de tout le travail de coaching.
En travaillant avec Chine
Muriel avait avant tout besoin de repos, mais elle ne s’y autorisait pas. Elle a réussi à sortir de cette injonction où il fallait tout le temps travailler pour s’octroyer la permission de s’occuper d’elle, à sa façon, comme c’était bon pour elle. Petit à petit, elle a avancé sur ce chemin et s’est sentie déjà mieux, mais cela a pris 2 ans pour qu’elle découvre ce qui lui allait vraiment, côté professionnel, et là, le chemin continue…
Les résultats : c’est elle qui en parle le mieux
Le travail avec Chine a été finalement beaucoup plus profond que je ne le pensais, cela ne s’est pas arrêté à la seule gestion de mon temps et m’a permis de me reconnecter à mes besoins.
Désormais, je suis toujours avocate et maman, mais avec une gestion de mon temps extrêmement différente. Je n’ai pas perdu en rémunération, mais j’ai divisé mon temps de travail par deux et je vais plusieurs fois par semaine chercher mes enfants à la sortie de l’école à 16h30 ! Le rêve pour moi.
Ce que j’apprécie particulièrement avec Chine, c’est qu’elle ne reste pas en surface : même si elle m’a transmis des outils très utiles, elle m’aide, avant tout, à comprendre la façon dont je fonctionne et me donne des clés pour évoluer.
Le travail au sein d’ateliers de plusieurs femmes encadrées par Chine s’est également révélé extrêmement puissant et très complémentaire avec les rendez-vous individuels proposés.
Pour des questions de confidentialité par rapport à son métier d’avocate et à ses clients, Muriel préfère rester anonyme. Mais si vous voulez la contacter, écrivez-nous, nous lui demanderons si elle est d’accord pour vous répondre.