Vous empêchez-vous de faire des choses importantes de peur de les froisser ?
Cela vous freine-t-il dans votre évolution professionnelle ?
Regardez la vidéo, je vous parle de cette posture épuisante :
Vouloir faire trop plaisir, à vos dépends.
Et je vous montre la voie pour en sortir.
Pour vous aider à retrouver votre dynamisme !
Et continuer à évoluer !
C’est super efficace.
Cela arrive spécialement chez les femmes de vouloir satisfaire, faire plaisir. Tout cela, pour être aimée, évidemment, satisfaire des gens qui ne sont pas contents. Il y a des gens qui ne sont jamais contents et qui sont impossibles à satisfaire, qui vont toujours râler.
Quand vous les repérez, il ne faut pas qu’ils vous bloquent, parce qu’il y a trop de femmes qui cherchent toujours à satisfaire des gens qui sont “insatisfaisables” et qui ne sont jamais contents.
Workshops à Paris
À un moment, il faut s’en foutre. Vous vous en moquez ! Qu’ils soient contents ou pas, il ne faut pas que cela vous bloque pour faire les choses.
Je pense à une cliente qui avait une collègue qui n’était jamais contente, qui passait son temps à râler.
Ma cliente, que faisait-elle ?
Elle se mettait en dessous. Elle n’osait pas faire des choses de peur que l’autre ne râle ou qu’il ne soit pas content. La mauvaise humeur de l’autre déteignait sur tout le service et ma cliente laissait à l’autre le pouvoir de sa mauvaise humeur qui, finalement, avait pris le pouvoir.
Qu’a-t-elle fait ? Heureusement, en coaching, elle a travaillé sur le fait de s’en foutre même si l’autre râle, sur le fait que l’autre ne soit pas content, sur le fait que l’autre la critique. Elle s’en fout. Il faut que cela arrête de la bloquer.
Cela a totalement changé sa posture. Au lieu d’être dans un enfant soumis qui s’adapte, un enfant adapté, elle est devenue elle-même. Elle s’est occupée d’elle et de ses besoins.
Elle a pu faire les choses, dire les choses, dire ce qu’elle faisait bien, se positionner. Il se trouve qu’elle a été promue. Elle est passée au-dessus de cette collègue qui n’était jamais contente, qui est, de toute façon, n’était pas non plus contente qu’elle soit au-dessus, mais elle le savait et elle n’en avait rien à faire.
La bonne posture dans ces cas-là, c’est de se dire :
“C’est vraiment dommage pour l’autre si elle n’est pas contente. Cela ne va pas me bloquer. Ce n’est pas dommage pour moi, c’est dommage pour lui s’il n’est pas content.”
En vous en foutant des gens qui ne sont jamais contents, vous allez gagner en leadership, en influence et en impact et c’est tout ce que je vous souhaite.
Chine