Que faire pour ne pas trop travailler ?

Conseil Coaching professionnel de Chine Lanzmann, mastercoach certifiée experte en leadership au féminin : Que faire pour ne pas trop travailler ?

Vous enchaînez les tâches sans fin, la tête pleine même le week-end, le cœur ailleurs… mais l’agenda toujours plein ? 

Et si le vrai courage aujourd’hui, c’était… d’en faire moins ?

Je vous partage un constat que beaucoup de femmes actives connaissent : travailler trop est souvent une fuite plus qu’un choix.
Les mécanismes invisibles qui nous poussent à surinvestir :

  • la peur de ne pas être assez;

  • l’illusion de tout devoir prouver;

  • l’habitude d’être «la bonne élève»;

  • l’oubli de ses propres besoins.

Je vous propose une démarche pas à pas pour reprendre le pouvoir sur votre emploi du temps et sur vos croyances. Cela commence souvent par un acte minuscule mais symbolique : annuler un rendez-vous inutile, refuser une réunion, s’accorder une vraie pause.


Cette vidéo s’adresse à toutes celles qui veulent sortir du syndrome de la performance permanente pour réinventer leur manière de travailler — en profondeur.

Comment faire pour moins travailler ?

Je partage ce qui me préoccupe en ce moment : Travailler, je sais faire ! J’ai toujours plein d’idées pour faire des choses nouvelles côté professionnel. Et pourtant, ce n’est pas forcément ce dont j’ai le plus besoin.

Je le vois aussi chez mes coachées à partir de 45 ans… Elles savent travailler et sont reconnues pour ce qu’elles font. Mais à force de trop travailler, de résister coûte que coûte, elles peuvent vraiment s’épuiser, ou être dans un état de pré-burnout qui peut durer des années..

Le travail est une activité extraordinaire car : 

  • on a un objectif, 
  • on est active, 
  • on est en lien avec du monde, 
  • on délivre des choses…
  • et cela nous apporte plein de reconnaissance !

 

Ce n’est pas pour rien que le travail occupe une grande partie de notre vie. Bien sûr, il y a aussi la sécurité financière et le confort financier qui sont fondamentaux.

Une fois que l’on possède cette sécurité financière, on peut travailler encore plus et ne faire que ça. Mais le problème, c’est que plus on travaille, moins on travaille bien. Plus on travaille, plus peut se mettre dans un état permanent de pré-burnout

 

Comment remplir le temps pris par le travail ?

S’il n’y a rien quand on ne travaille pas, on s’ennuie. Et il n’y a rien de pire dans la vie que de s’ennuyer. 

Alors pour remplir le temps quand on décide de moins travailler, cela peut être de voir des amis. 

Ce n’est pas évident de se faire de nouveaux amis à 40 ans, 50 ans, 60 ans et plus. Parce que pour se faire de nouveaux amis, la théorie, c’est qu’il faut avoir une activité régulière en lien avec les mêmes personnes.

Quand on est à l’école, on voit les autres enfants tous les jours, et certains deviennent nos amis. Donc, quand on est enfant et étudiant, c’est très facile de se faire de nouveaux amis. 

C’est plus compliqué de se faire des amis dans le troisième trimestre de notre vie ! Dans le deuxième trimestre, là où on est accaparée le plus par le travail, développer son activité, développer sa carrière, s’occuper des enfants… là, souvent, les amis passent en dernier plan et on peut les perdre de vue. 

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S’occuper de notre santé et bien-être et être plus créative

Alors ? Quoi faite si on décide de moins travailler ?

Plus on avance dans la vie, plus la santé et prendre soin de soi prennent de l’importance : 

  • Bien se nourrir : faire le marché, bien cuisiner. J’adore ça. 
  • Faire des activités physiques…
  • Prendre soin de son bien-être : bien dormir, ne pas se réveiller trop tôt, ne pas se coucher trop tard, ne pas trop stresser, 
  • Faire des activités artistiques ou créatives… 

 

Développer ma créativité, j’ai l’intention d’y travailler dans les prochaines années. Créer des choses avec mes mains, avec une partie de mon cerveau et lâcher le côté rationnel. 

 

Jouer aux jeux de société

J’adore aussi jouer aux jeux de société. Je pourrais en jouer deux, trois heures par jour. pour assumer cette partie de moi, d’enfant libre, ludique, où j’aime jouer…  

 

Moins travailler pour mieux travailler

Si vous avez l’habitude de beaucoup travailler, posez-vous la question : ai-je envie de continuer à travailler autant ? 

Si oui, c’est absolument OK. Il n’y a pas de règle qui dit qu’il ne faut pas travailler tant. Si vous êtes câblée pour travailler et que cela vous convient, alors, c’est génial ! 

Moi, je suis câblée pour travailler. Cela m’a convenu. Et maintenant, j’ai envie d’autre chose car je me rends compte que moins je travaille, mieux je travaille.

Quand je ne travaille pas, je fais d’autres choses qui me nourrissent, qui me ressourcent. 

J’y pense beaucoup en ce moment pour moi et je vois cette préoccupation aussi chez certaines de mes coachées. Que faire quand on ne travaille pas, quand on n’a plus d’enfants à la maison et qu’on a beaucoup de temps et de liberté ? C’est génial d’y réfléchir.

C’est tout un processus, tout un chemin qui s’ouvre avec plein d’explorations, plein de découvertes et puis des essais, des choses qui ne marchent pas et puis d’autres qui fonctionnent. C’est tout ce que je vous souhaite : pouvoir avoir une vie où vous épanouissez, où vous êtes dans votre zone de génie et où vous travaillez super bien et peut être pas que travailler…

Photo en portrait de la coach Chine Lanzmann, coaching pour les femmes leaders

Vous connaissez le programme Woman Impact ?

Il s’agit d’un programme de coaching qui permet aux femmes leaders de vivre leurs meilleures années professionnelles.

Parce que ce n’est pas qu’une question d’emploi du temps, mais une mécanique intérieure. Travailler trop est souvent lié à des peurs, à un besoin de reconnaissance, ou à une profonde croyance que « valeur = produire ». En tant que coach, je vois souvent chez les femmes leaders une tension entre performance, loyauté et peur de décevoir. Ce n’est pas le travail qu’il faut gérer d’abord, c’est votre relation au travail.

Oui, et c’est même essentiel si vous voulez durer, évoluer, respirer. Le coaching aide à repérer les injonctions internes qui vous poussent à vous surinvestir. De nombreuses femmes qui ont des postes à responsabilité vivent ce conflit entre efficacité et santé mentale. Il est possible de ralentir tout en restant engagée.

Certains signaux sont clairs : fatigue chronique, perte de sens, colère, ou isolement. D’autres sont plus subtils : besoin compulsif de tout contrôler, difficulté à déléguer, ou incapacité à dire « non ». Le coaching professionnel permet d’apprendre à lire ces signaux corporels et émotionnels avant le burn-out.

Les deux. Savoir gérer son temps est une compétence, mais si vous n’osez pas poser des limites, ou si vous avez du mal à dire non, alors c’est un sujet de leadership personnel. C’est aussi un sujet de légitimité : est-ce que je me sens assez forte pour ralentir sans perdre ma valeur ?

Travailler trop, ce n’est pas seulement faire 60h par semaine. C’est aussi penser au travail en permanence, s’endormir avec des choses à faire dans la tête, se sentir toujours en retard. C’est une forme d’hyperactivité mentale. Et ça touche beaucoup de femmes leaders…

 

En les posant avec clarté, respect et cohérence. En coaching individuel ou collectif, j’accompagne souvent des femmes à formuler des demandes justes, fermes, mais non agressives. On peut être engagé sans être disponible 24h/24 et 7j/7. C’est même une preuve de maturité professionnelle.

Parfois oui… et c’est normal. Quand vous changez de rythme, cela peut mettre les autres face à leur propre fonctionnement. Mais si vous incarnez un leadership clair, aligné, cela inspirera plus qu’autre chose. Le coaching en leadership au féminin permet de prendre cette posture d’impact, sans culpabilité.

Pas besoin de tout bouleverser du jour au lendemain. Je recommande souvent à mes coachées de commencer par tester : une vraie pause déjeuner, pas de mail après 19h, un « non » bienveillant à une demande injustifiée. C’est dans ces micro-actions que se construisent un rapport plus sain au travail.

Parce qu’on a souvent été éduquée à donner, à faire plaisir, à assurer. Réduire la charge de travail demande de sortir du mythe de la femme parfaite. C’est un travail d’alignement entre ce que vous voulez vraiment, et ce que vous osez mettre en place. Un coaching personnalisé aide à traverser ce tiraillement avec clarté.

Les points clés à retenir

1. Travailler trop n’est pas une preuve de performance durable

Beaucoup de femmes surinvesties dans leur vie professionnelle pensent qu’il faut prouver leur valeur par le volume de travail. Mais ce sur-engagement épuise, déconnecte de soi, et finit par nuire à la qualité du leadership. 


 

2. Le problème n’est pas toujours le temps, mais la relation au travail

Il ne s’agit pas simplement de mieux gérer son agenda. Il s’agit de comprendre pourquoi vous n’arrivez pas à lever le pied. Le coaching aide à identifier les schémas inconscients qui poussent à trop donner, comme la peur de décevoir ou la recherche de légitimité.


 

3. Dire non, c’est construire un vrai leadership au féminin

Apprendre à dire non sans se justifier ni culpabiliser, c’est sortir du rôle de « bonne élève » pour entrer dans une posture de femme leader. Savoir poser ses limites de manière claire est une compétence stratégique dans le monde professionnel.


 

4. Le ralentissement n’est pas une perte de vitesse, mais un changement de cap

Ralentir permet de retrouver de l’élan, de la clarté, de l’efficacité. Le coaching en développement personnel aide à redonner du sens à ses actions et à retrouver une zone d’impact alignée avec ses valeurs.


 

5. Les femmes sont souvent conditionnées à ne jamais « lâcher »

Derrière le fait de trop travailler, il y a parfois une loyauté inconsciente : à sa famille, à une culture, à une assistance sociale. Le coaching permet de déconstruire ces injonctions invisibles pour retrouver sa souveraineté et créer une nouvelle façon de contribuer.


 

6. La fatigue chronique peut être un signal d’alarme professionnel

Quand votre corps dit stop, il est temps d’écouter. Le coaching individuel vous aide à repérer les signes d’alerte avant qu’ils ne deviennent médicaux : tensions, insomnies, irritabilité… Ces signaux sont des invitations à réajuster, pas des faiblesses.


 

7. Changer son rapport au travail demande du courage, pas une démission

Pas besoin de tout plaquer. Il est souvent possible d’ajuster, de renégocier ses priorités, de s’autoriser à respirer. Le coaching professionnel permet de faire ces changements de manière posée et réfléchie.