Parfois, il est stratégique d’assumer d’être la “méchante”
Trop femmes leaders deviennent comme des petites filles quand il s’agit de recadrer ou de se séparer d’une personne dont le travail ne convient plus.
Elles prennent sur elles, protègent la personne en faisant son travail à sa place, perdent du temps et de l’énergie à gérer quelqu’un qui n’assure pas…
Pourtant, elles n’osent pas dire que ça ne va pas, n’osent pas s’en séparer, et n’osent pas chercher d’autres solutions…
Pourquoi ?
Parce que, tout au fond d’elles, elles veulent être aimées.
Elles veulent être appréciées.
Et ont tellement peur de ne pas être aimées qu’elles n’osent pas – ou même, qu’elles ne pensent même pas à passer pour la “méchante”.
Je les comprends, bien sûr : on a toutes besoin d’être aimées.
Mais pas au détriment de notre efficacité et de notre confort professionnel.
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Recadrer ou se séparer des gens qui ne font pas bien leur travail fait partie de votre travail
En fait, quand une personne ne fait pas bien son travail, traiter cette situation n’est pas une histoire d’être gentille ou d’être méchante.
C’est d’accepter de ne pas être appréciée “tout le temps”.
D’accepter de ne pas être aimée par “tout le monde”.
Ce conseil : “d’assumer d’être la méchante” aide beaucoup de femmes, même des femmes leaders, quand elles n’ont pas encore compris qu’être aimée, c’est la cerise sur le gâteau, ce n’est pas le gateau.
Si vous aussi n’osez pas recadrer, n’osez pas dire que le travail d’une personne ne vous convient pas, si vous culpabilisez à l’idée de dire à quelqu’un que cela ne va pas et que vous en souffrez, alors… donnez-vous la permission d’être la “méchante” sur ce coup-là.
Et vous, vous donnez-vous la permission d’être “méchante” de temps en temps ?