Vous avez envie d’évoluer dans votre vie professionnelle ?
Mais vous êtes bloquée par le plafond de verre ?
Plusieurs femmes que j’accompagne se retrouvent dans cette situation : elles sont dans la quarantaine, elles ont tout ce qu’il faut : le talent et les compétences pour diriger…
Mais elles stagnent ! Et les postes au dessus sont occupés que par des hommes de 50 ans, et qui sont là pour longtemps.
Elles se retrouvent coincées :
- D’un côté, elles maîtrisent leur travail, commencent à s’ennuyer, manquent de stimulation et pour changer, souhaitent progresser…
- Et de l’autre côté, comme dans leur poste actuel, elles ont une excellente sécurité financière, la liberté de s’organiser comme elles le souhaitent et plein de confort dans leur travail…
Alors, elles restent.
Ce n’est pas dramatique non plus ! La posture juste, c’est d’assumer ce qui fait que l’on choisit de rester. D’assumer que c’est un choix – pour ne pas le “subir” et se placer en victime et du coup, vivre beaucoup moins bien cette situation.
Et puis, se donner l’autorisation d’aller voir ailleurs quand on est prête.
Donnez-vous la permission de réussir
Parfois, elles sont coincées, car, inconsciemment, elles se mettent dans l’obligation d’évoluer, l’obligation de réussir.
Or, cette obligation de réussir a tendance, paradoxalement, à nous bloquer dans notre réussite !
Le travail que je fais avec mes clientes dans ce cas est de les aider à transformer cette obligation, pesante, bloquante, coinçante en 💎 permission de réussir.
Une femme formidable que j’ai accompagnée en coaching était vraiment dans cette obligation de réussir. Depuis l’enfance. Elle a toujours été la première de la classe… à l’école puis en prépa… Mais aujourd’hui, elle travaille dans une entreprise où le plafond de verre est en béton armé. Elle évolue dans un monde d’hommes plus âgés, plus puissants.
Elle ne peut pas évoluer plus que là où elle est déjà à 40 ans. En tout cas, elle est partie pour stagner jusqu’à ses 50, 55 ans… Car là, peut-être qu’elle verra une brèche dans ce plafond limitant.
Elle trépigne. Elle est hyper frustrée. Elle n’en dort pas. Cette obligation de réussir lui fait beaucoup de mal car elle n’arrive pas à partir ailleurs tellement elle est bien payée !
Alors elle reste et le vit super mal, comme si elle subissait cette situation.
A faire chaque semaine : un rendez-vous avec vous-même
Pourquoi tant de femmes s’obstinent à rester sous ce plafond de verre ?
Nous réfléchissons ensemble aux raisons qui font qu’elle soit restée plus de dix ans dans cet environnement patriarcal, où les femmes ne sont pas soutenues, pas encouragées, pas portées pour grimper dans la hiérarchie.
Qu’est-ce qui fait que malgré tout ça :
- elle reste,
- elle se bat,
- elle travaille comme une dingue,
- elle fait le boulot de 2, 3 personnes,
- elle s’épuise encore…
En creusant pour chercher une raison (autre que financière), je lui demande comment c’était quand elle était petite ? Vivait-elle dans un environnement où elle était encouragée ?
Eh bien pas du tout.
Elle était obligée d’être toujours la meilleure de sa classe, et elle y parvenait, sauf que ces parents ne l’encourageaient pas et n’y voyaient rien d’extraordinaire.
Petite, elle n’a reçu aucune reconnaissance de son entourage proche… Et pour chercher cette fameuse reconnaissance dont on a toutes besoin, qu’elle s’épuise à rester la première, encore aujourd’hui, comme si, un jour, ça allait marcher ! Comme si, un jour, ses parents allaient lui dire “Bravo ma chérie, tu es une fille formidable, nous sommes fiers de toi !”.
C’est cette recherche inconsciente d’une reconnaissance impossible à avoir qui fait qu’aujourd’hui, elle tient le coup dans l’entreprise où elle travaille.
Elle reproduit le même schéma : elle est la meilleure, mais comme elle n’a pas la reconnaissance, elle reste quand même. Sa situation aujourd’hui est similaire à ce qu’elle a vécu dans son enfance, ce scénario est ancré en elle. Et, même s’il est douloureux à vivre, elle sait faire avec.
Au fil de notre discussion, je lui demande si sa mère a vécu la même chose…
Oui, sa mère a aussi été brimée pendant son enfance. Elle n’a pas pu faire d’études, alors qu’elle voulait en faire. Et finalement, elle s’est soumise.
A l’issue du coaching…
Le coaching n’est pas de la thérapie. Je ne vais pas l’aider à guérir ses blessures de l’enfance, mais je l’aide à les pointer afin de mettre de la conscience dans ce qui se joue encore inconsciemment et qui la freine.
Alors là, maintenant, on peut remonter dans le présent et aller regarder concrètement :
Quels sont ses plans B ? Partir ? Se former ?
Ce qui ferait qu’elle pourrait rester encore en se sentant le mieux possible ?
L’histoire se termine bien car dès qu’elle a commencé à chercher ailleurs, elle a reçu des propositions auxquelles elle ne s’attendait pas et travaille aujourd’hui dans un environnement où elle est voulue, encouragée, et soutenue, et dans lequel elle a la possibilité d’évoluer.
Vous aussi, donnez-vous la permission d’aller :
- dans des environnements qui vous veulent,
- dans des environnements où vous êtes reconnue,
- dans des environnements où vous êtes soutenue,
- dans des environnements où vous êtes encouragée.
Pour accompagner les femmes à se déployer professionnellement, j’ai conçu le programme de coaching ⭐ Woman Impact : outils de leadership, coaching individuel & communauté bienveillante et soutenante.
Les 3 piliers pour que vos plus belles années professionnelles soient les prochaines.