Vous réfléchissez trop ? Et vous n’arrivez pas à vous décider ?
Avez-vous, parfois, tendance à réfléchir tellement, que vous oubliez de vous décider ?
D’un côté, c’est super, car vous prenez le temps de mûrir votre réflexion et de prendre toutes les informations dont vous avez besoin.
Et en même temps, quel dommage car vous risquez de passer à côté de choses qui vous auraient :
- fait du bien,
- rendu la vie meilleure,
- aidé à vous développer professionnellement.
Quand on ne fait pas les choses tout de suite, notre motivation diminue
C’est un grand principe : plus on attend pour se décider, plus notre motivation diminue.
Quand on est motivée à faire quelque chose, on a un élan, un coup de coeur, on sait que ça va vraiment nous rendre la vie meilleure, ça va nous aider à travailler encore mieux.
C’est important de suivre cet enthousiasme car ce n’est pas pour rien qu’on le ressent.
A faire chaque semaine : un rendez-vous avec vous-même
Vous pouvez suivre votre premier élan sans perdre de temps
Personnellement, j’ai plutôt tendance à me décider rapidement.
Quand je prends une décision, j’ai un élan, un coup de coeur, j’y vais.
Mais quand il de s’agit de quelque chose d’ important, comme un gros investissement qui va me prendre du temps, ou qui va être dans la durée dans lequel je vais devoir m’impliquer, comme par exemple un programme de coaching d’un an ou de deux ans, là, je réfléchis un peu plus.
Cela m’est déjà arrivé deux fois de trop réfléchir, de trop attendre.
Finalement, j’y suis allée parce que, quand même, j’ai tendance à suivre mes élans.
Et quand j’ai vu à quel point ça m’avait aidé et le temps que j’avais perdu , j’ai regretté de ne pas m’être inscrite quand j’ai eu le premier élan.
Ce n’est pas pour rien que l’on a un coup de cœur, un intérêt, une envie.
Ça appelle notre enfant libre intérieur : on a une intuition, on sait que ça va nous aider.
Je vous recommande vraiment de suivre cet élan.
Attendre donne place à de l’hésitation, une forme de résistance
Quand on a envie et qu’on ne le fait pas tout de suite, les résistances apparaissent :
- “Est-ce que je le vaux bien?”
- “Est-ce que ça va vraiment me faire du bien?”
- “Est-ce que je ne peux pas me débrouiller toute seule ?”
- Et “est-ce que c’est vraiment le bon moment?”
Cette histoire du “bon moment” peut vraiment nous planter.
“Le” bon moment n’existe pas, il engendre la paralysie de la perfection
Vous avez le droit de ne pas attendre ce moment parfait qui, de toute façon, n’existe pas, pour vous faire du bien.
Beaucoup de femmes ont tendance à attendre la perfection, qui n’arrive jamais.
Elles se paralysent toutes seules, en attendant le bon moment, le moment parfait.
Vous reconnaissez-vous ?
Vous aussi attendez le “bon moment”.
- “Plus tard, quand je serai augmentée…”
- “Quand j’aurai un client plus…”
- “A la rentrée prochaine…”
Quel dommage !
Avez-vous assez confiance en vous ?
Plus tôt on se lance, plus notre vie professionnelle sera maximisée
Prenons par exemple le coaching Sujet que je connais plutôt bien !
Le coaching aide à passer à la prochaine étape, à se sortir des situations complexes, à se développer professionnellement…
Autant avoir cette aide le plus vite possible.
Or quand on se dit : “non, ce n’est pas le bon moment, parce que le bon moment sera à la prochaine étape”, on se prive de cette aide.
Et on va beaucoup plus lentement.
Et on reste seule.
Alors que ça pourrait être un passage sympa à vivre, même sans douleur, sans effort.
Quand on est soutenue et encouragée.
Démarrer par ce qui vous fait plaisir vous aide à vous épanouir professionnellement
Il y a aussi le scénario qui ne marche pas : “Je le ferai après.”
- “Je mangerai mon dessert après avoir mangé les épinards que je n’aime pas trop.”
- “D’abord, je vais en baver, je vais faire des efforts, je vais me rendre malheureuse, et puis après je me ferais du bien.”
Quand je commence par ce que je n’aime pas faire, ça m’enlève de l’énergie, je suis ratatinée, et je ne suis pas du tout motivée pour faire ce qui va me faire plaisir. En tout cas, même ce qui normalement me fait plaisir l’est moins.
Alors que quand je commence par ce qui me fait plaisir, j’en profite vraiment, je suis motivée pour faire ce qui me fait moins plaisir.
C’est ce que je vous recommande : démarrez par l’élan, suivez votre intuition.
Suivez ce qui vous donne de l’énergie dans la vie, dans la vie professionnelle
Vous verrez, ça va être toujours payant pour vous.
Et c’est vraiment ce que je vous souhaite.
C’est pouvoir vous épanouir professionnellement, déployer vos talents, avoir plein d’énergie au travail, être vraiment vous-même et aller dans le plaisir.
Et je suis là pour vous. Vos meilleures années professionnelles sont à venir.