Ce que votre surcharge émotionnelle dit de votre puissance féminine
Vous êtes une femme leader, engagée, ambitieuse… et pourtant, certains jours, tout semble flou. Vous sentez-vous au bord des larmes, de la crise ou de l’épuisement ? Je vois beaucoup de femmes puissantes perdre pied en silence. Ce n’est pas un hasard. C’est un signal.
Je vous accompagne à travers un coaching professionnel, pour comprendre ce qui se cache derrière ces états : cette fatigue floue, cette colère sourde, cette impression d’être « folle » alors que vous êtes simplement traversée par des émotions qu’on ne vous a jamais appris à écouter.
Dans cette vidéo, je vous guide pas à pas pour retrouver de la clarté, du pouvoir intérieur et du leadership incarné. Parce que votre mal-être n’est pas une faiblesse. C’est un appel.
Quand la colère envahit votre vie professionnelle, comment réagir ?
Je le vois en coaching depuis des années, et je l’ai vécu moi aussi : avoir la permission de ressentir de la colère est encore difficile pour beaucoup de femmes. C’est même une émotion qui peut leur être interdite depuis l’enfance, alors que c’est totalement normal d’être en colère !
Et des problèmes en découlent : comme elles ne reconnaissent pas leur colère, elles ne savent pas y réagir d’une manière adéquate, et peuvent retourner la colère contre elles-mêmes : la dépression… ou perdre leurs neurones et ressentir à la place de la fatigue…
Il y a des situations où ressentir de la colère est appropriée : cette émotion est là pour nous indiquer nos besoins profonds de justice et de réparation. Malheureusement, trop de femmes, qui sont encore dans leur enfant, ont été éduquées avec : on n’a pas le droit d’être en colère.
La colère fait partie de l’humain, tout comme les 3 autres principales émotions qui sont :
- la joie,
- la peur
- et la tristesse
Ainsi d’autres émotions un plus petites, comme le calme, la surprise, le dégoût…
On ne peut pas s’empêcher d’avoir des émotions.
On ne peut pas s’empêcher de ressentir de la colère.
Cela m’a beaucoup aidé de comprendre qu’il y a une façon saine de ressentir et d’exprimer sa colère.
La colère saine s’exprime en partant de nous, de ce qui ne nous convient pas.
– Mais non, cela ne me convient pas ! Voilà ce qui me convient, voilà ce que je veux…
La colère malsaine s’adresse à l’autre pour le dévaloriser :
– Tu es nul ! C’est vraiment idiot ce que tu fais, ton comportement est horrible…

Avez-vous assez confiance en vous ?
La colère est aidante en coaching pour repérer ce qui ne vous convient pas
Quand on est en colère, la première étape est de la reconnaître, ensuite, de l’exprimer.
Écrire une lettre à la personne qui a fait ce qui a déclenché notre colère peut permettre de nous apaiser….
Mais pour les femmes, il est plus difficile de reconnaître notre colère. Alors là, le coaching peut aider à la faire sortir..
Car quand la colère s’exprime :
- On arrête d’être fatiguée,
- On récupère nos neurones,
- On retrouve notre élan vital.
Ensuite, on peut réfléchir avec stratégie pour obtenir ce qui nous convient, ce qui va nous calmer. Le plus souvent : de la réparation…
Assumer votre colère pour ne pas être constamment fatiguée
La colère, quand elle n’est pas assumée – et pour beaucoup de femmes, c’est difficile à assumer –
- peut nous épuiser,
- peut nous faire perdre nos neurones,
- on peut même penser qu’on devient folle, hystérique ! Alors qu’en fait, oui, on est folle de rage.
Je pense à une coachée en colère contre le leader qui s’occupe d’elle depuis un an, car il ne l’inclut pas dans la stratégie et ne lui donne pas les moyens de bien travailler.
Comme elle n’a pas “le droit” d’être en colère, depuis son enfance, elle est tout le temps épuisée.
Elle ne reconnaît pas sa colère, elle pense qu’elle doit être gentille, tout accepter, sans se positionner, sans exprimer ce qui ne lui convient pas.
- Cela finit par l’épuiser
- Elle n’arrive plus à penser,
- Se retrouve dans un brouillard permanent.
Mais comme la fatigue n’est pas son véritable problème, elle a beau dormir, elle n’est toujours pas reposée !
En coaching, elle a pu reconnaître sa colère, mettre des mots dessus. Je lui ai assuré que sa colère était légitime. Nous avons fait un jeu de rôle pour qu’elle puisse l’exprimer – virtuellement – à son chef.
Elle a enfin pu retrouver son intelligence et nous avons réfléchi ensemble à la stratégie qu’elle allait pouvoir mettre en place, et notamment, ce qu’elle allait pouvoir lui demander concrètement, ainsi que des plans B si elle n’obtenait pas ce dont elle avait besoin.
Je vous souhaite de reconnaître les moments où vous êtes en colère et de pouvoir l’exprimer d’une façon saine, en parlant de vous, de vos besoins, de ce qui vous convient et de faire des demandes claires. Vous allez récupérer de l’énergie et atteindre vos objectifs.

Vous connaissez le programme Woman Impact ?
Je me suis souvent posée cette question moi-même. Et ce que j’ai appris, c’est que ce n’est jamais sans raison. Quand je me sens vidée alors que « je n’ai rien fait de spécial », c’est souvent que je porte trop : des attentes, des injonctions, du soin pour les autres. Cette fatigue peut venir d’un trop-plein émotionnel ou mental. Elle n’est pas imaginaire, elle est le signe que je dois m’écouter autrement.
Oui, ce genre d’envie surgit souvent quand mon système est en alerte rouge. J’ai appris que ce n’est pas une réaction irrationnelle, c’est un besoin de rééquilibrer quelque chose. Dans le coaching, on explore justement ce type de signaux pour sortir du mode « je subis » et retrouver de la clarté dans mes choix.
Ce n’est pas à moi de poser un diagnostic, mais ce que je sais, c’est que ce « brouillard » est un langage. Un langage du corps, du cœur, de mon intuition. Quand je ne vois plus clair, c’est souvent que je me suis éloigné de moi-même. C’est là que le coaching m’aide : à remettre du sens, à retrouver ce qui m’anime.
Je me pose souvent cette question dans mes accompagnements. Une émotion normale, je la ressens, elle passe. Une surcharge émotionnelle, elle me déborde, elle me fige ou elle m’épuise. Quand j’ai des réactions démesurées ou quand je me coupe de tout, c’est que j’ai besoin de ralentir et d’écouter ce qui crie à l’intérieur.
Parce qu’on a appris à des générations entières de femmes à taire ce qu’elles ressentent, à rester calmes, polis, performantes. Alors quand je laisse sortir mes émotions, je me demande si je suis folle. Mais non, je suis vivante, humaine. Et dans mon parcours, c’est en accueillant cette part-là que je commence à me sentir vraiment alignée.
Oui, et pas juste le droit, mais le besoin. Derrière la posture de la femme forte, il y a souvent un oubli de soi. Moi aussi, j’ai tenu bon trop longtemps, jusqu’à ne plus savoir pourquoi je faisais ce que je faisais. Ce n’est pas une faiblesse de flancher. C’est une étape de recentrage. Et ça peut même devenir une source de puissance nouvelle.
Je commence par respirer, par écrire, par ralentir, et puis, je cherche un espace où je peux déposer ce que je vis sans être jugée.
Dans le coaching, on ne me donne pas de solution toute faite. On m’aide à voir ce que je ne vois plus. Et petit à petit, la clarté revient. Pas toujours net, mais elle revient.
Oui, c’est même essentiel. Ma colère contient souvent des messages puissants. Elle me dit ce que je ne veux plus, ce que je ne peux plus accepter.
En coaching, j’apprends à ne plus l’étouffer ni l’exploser, mais à l’écouter et à l’utiliser comme carburant pour faire bouger les lignes dans ma vie.
Parce qu’on m’a appris que ma valeur passait par ce que je fais pour les autres. Mais prendre soin de moi, ce n’est pas du luxe, c’est une base. Quand je culpabilise, je me rappelle que je suis en train de réapprendre à me traiter avec respect. Et c’est un chemin courageux.
Non. C’est ce que je découvre à chaque cercle, chaque séance, chaque échange. Ce que je vis, d’autres femmes le traversent aussi. Et quand je le dis à voix haute, je me reconnecte à une force collective, je me sens moins isolée, je reprends le souffle, et je répare plus alignée.
Les points clés à retenir
Les émotions fortes ne sont pas des anomalies, mais des messages
Se sentir “folle”, “fatiguée”, “floue” ou “en colère” n’est pas une preuve de faiblesse ni un problème à corriger. Ce sont des indicateurs puissants que quelque chose à l’intérieur de soi appelle à être entendu.
La confusion ou le « brouillard » mental est un signal d’alarme
Quand tout devient flou, c’est souvent que l’on s’est coupée de soi. Ce n’est pas un manque de volonté, mais un besoin urgent de ralentir, de se reconnecter.
La colère féminine est légitime et peut être transformatrice
Trop souvent réprimée, la colère est pourtant un levier de puissance. Elle indique les limites franchies, les déséquilibres, et peut devenir un moteur de transformation personnelle et professionnelle.
Il est temps de redonner du sens à ce que l’on vit intérieurement
Ce n’est pas à la société de définir ce qui est acceptable dans le ressenti féminin. Il s’agit de reprendre la souveraineté sur ses émotions, ses besoins, ses élans.
Le coaching est un espace pour faire émerger sa vérité
Dans ce brouillard, le coaching permet de poser des mots, d’écouter ce que le corps et le cœur racontent, et de retrouver son axe, sans conseil, sans pression, juste un miroir.
On n’est pas seule à vivre ça
Beaucoup de femmes traversent ces états, mais en silence. Cette vidéo agit comme un pont, un premier pas vers une parole plus libre, une écoute plus fine de soi, et peut-être une transformation.